Welcome in Night Cityforum test de Night City | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
Date d'inscription : 13/02/2021
| Mer 12 Jan - 13:08 < groupes > // styles { aesthetic } // console.log("groupes_743-SE") // open.DATA ("clear") // find.data ("styles") // | Les habits sont depuis la nuit des temps une façon de s'exprimer, de parler de vous sans même avoir à ouvrir la bouche pour vous décrire. En portant telle veste ou tel pantalon, vous dites quelque chose à ceux que vous rencontrez. Le style n'a jamais été aussi important qu'aujourd'hui. Pourquoi ? Parce qu'un style, c'est aussi une façon de penser, un crédo, un mode de vie. Certains ont été inventés dans l'histoire pour se rebeller contre l'autorité, d'autres pour définir une classe sociale... Alors choisissez bien. Ce n'est pas un simple chapeau, une simple paire de lunettes. C'est une façon de voir les choses. C'est ce que vous êtes. À l'extérieur, mais aussi à l'intérieur. Serez-vous celui qui fait tout pour faire partie du décor, ou chercherez-vous à distinguer de la masse et à être plus éclatant que jamais ?
Préférerez-vous favoriser l'utilité plutôt que le style, et faire partie des entropistes ? Ou adopterez-vous le style riche, classieux, élégant et carré des puissants néomilitaristes ? Vous tournerez-vous vers le kitsch et ses habits colorés, signes d'espoir et de rébellion, ou aurez-vous carrément de quoi vous payer un style extravagant comme le néokitsch, et vous parer des matériaux les plus chers pour montrer au monde votre ambition et votre style ? |
// console.log("groupes_743-SE") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
Date d'inscription : 13/02/2021
| Mer 12 Jan - 13:08 < groupes > // styles { aesthetic } // console.log("groupes_743-SE") // open.DATA ("clear") // find.data ("neomilitarism") // | Vous voici au milieu de ce qui semble être une tour d’ivoire, entre or poli et platine noirci, les murs se parent d’un revêtement noir matifié, d’un sol éclatant par le marbre ergonomique et curieusement luxueux qui y est appliqué. Votre regard se tourne, dévie naturellement des murs qui vous entourent, desquels vous êtes curieusement habitué, et se loge sur les grandes baies vitrées qui ferment les bureaux dans lesquels vos collègues sont enfermés. Du noir, du gris, du rouge ou encore du doré froid, que des couleurs glaciales qui parent les murs, qui habillent les meubles, et cette longiliforme qui suit chaque ligne, chaque meuble, chaque courbe de la pièce et de tout ce qui la constitue. Vos doigts se posent naturellement sur le revêtement d’un divan posé là et habituellement utilisé pour un client, la texture est douce et pourtant froide, robuste. La durabilité se sent dans l’utilisation du matériau choisi. Il y a une volonté d’ergonomie, d’usage, d’utilité avant même que le style ne soit mentionné. Vous fermez vos yeux, vous les rouvrez quelques secondes plus tard, la scène a changé, comme une danse sensorielle le fait si aisément. C’est désormais au milieu d’une salle aux aspects militaires, aux lignes géométriques et aux revêtements glaciaux, que vous êtes. Un large reflet de ce style qui s’étend sous vos yeux. Vous entrevoyez les netrunners, parés de leurs combinaisons à peine colorées, couvrant leurs formes de la base de la mâchoire jusqu’au bout des doigts, vous retrouvez cette couleur dominante, cette palette froide qui caractérise si bien les personnalités de cette catégorie. Vous pouvez voir, dans le fond, quelques mercenaires cherchant à grappiller des informations, parés encore une fois de tenues loin d’être affriolantes, passe-partout. C’est leur but après tout : être des caméléons ; vous savez que vous les retrouverez partout. Que ce soit au milieu des netrunners qu’au milieu des agents corporatifs vus plus tôt, dans leurs costumes parant le noir et le doré de leurs cybernétiques discrets. Vous savez également que certains gangs se parent de ce style, sans mal, mais qu’ils ne sont pas représentés. Après tout, même si ce style froid et militaire, aux couleurs saturées à l’extrême froid, semble convenir aisément à une certaine classe, il demeure volatile et se trouve toujours dans les mains de ceux qui veulent en convenir l’apparat. Vos yeux se ferment à nouveau, vous les rouvrez, vous êtes ailleurs. Dans un dressing, curieusement brun, d’un bois encore une fois froid, mais différent. Vos yeux se perdent sur les vêtements : des tenues simples, ergonomiques, amenant l’usage et la substance en primauté sur l’esthétisme même si vous savez sans mal que l’esthétique est primat de toute chose en ce monde. Vos doigts glissent sur les textures d’un chemisier, d’une robe, puis d’un costume, palpent la douceur et la robustesse d’un matériau qui coûte le double de votre arme dans votre poche pour quelques malheureuses chutes. C’est l’élégance froide, la robustesse militaire, le géométrique formel, la puissance dans la menace. Le néomilitarisme, vous le savez, c’est l'apanage des puissants en général, mais pas seulement. Le néomilitarisme, c’est ce qui se présente sous vos yeux, c’est l’absence de rébellion, l’absence d’une folie pour poser la dominance, imposer un pouvoir par le style du gris graphite, du rouge élégant ou du noir mat. C’est le néomilitarisme. C’est la puissance ou l'appât de celle-ci, la quête éternelle vers la montée de haut vol. C'est l'avènement du style à la sortie d'une Quatrième Guerre des Corporations et la révélation de la puissance de ces dernières, de leur contrôle et de leur dominance. Vos doigts s’échappent du tissu, la vision se brouille, le mode édition annonce la fin de la danse sensorielle. Ce style serait-il votre choix? Saurez-vous faire passer la substance avant le style?
|
// console.log("groupes_743-SE") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
Date d'inscription : 13/02/2021
| Mer 12 Jan - 13:08 < groupes > // styles { aesthetic } // console.log("groupes_743-SE") // open.DATA ("clear") // find.data ("entropism") // | Vous ouvrez les yeux sur un plafond fissuré, vous vous doutez qu'il menace de s'écrouler. La vieille radio crachote quelques sons à propos de la dernière fusillade, la dernière mamie rackettée ou bien le dernier gosse égorgé avant de s'éteindre brutalement. Vous passez les doigts sur son antenne démodée alors que le ventilateur vous souffle de l'air poussiéreux de ses pâles plastifiées. Vous voilà au cœur d'un appartement comme on en trouve des milliers d'autres, fabriqués à la chaîne par les corporations pour permettre aux plus nécessiteux de toucher du doigt la modernité. Vous baissez les yeux sur ce que vous portez, sweat-shirt informe, pompes usées et implants de mauvaise qualité. Vous passez en revue le mobilier, ce n'est pas si vieux, simplement réduit au strict minimum. Pas de décorations superflues, pas de jolis bords chromés, pas de bois riches et de lumières éblouissantes. Rien que des bords droits, des contours grossiers, des graffitis et des canettes vides. Une absence de finition, des produits manufacturés qui ont l'air de mauvaise qualité. Pourtant tout doit être fonctionnel, c'est la priorité. Même les couleurs sont trop chères pour vous, vous vous contentez du gris, du beige, de la couleur de la boue, de l'usure et de la saleté. Vous clignez des yeux et vous voilà en pleine rue, sûrement l'une de Santo Domingo. Vous avisez les caisses qui semblent sortir d'une capsule temporelle, on se croirait dans les nineties avec toutes ces carrosseries carrées, ces espaces volumineux sur quatre roues crantées. Rien de comparable aux jolies voitures qui sillonnent North Oak, aux formes longilignes, aux allures fières, qui sentent le neuf. Ici, vous ne voyez que les angles maladroits et imprécis des tacos bas de gamme qui éclairent les routes de leurs phares halogènes. Vous voyez un vieil homme trainer sa carcasse non loin, ses implants datent de l'époque de la Quatrième guerre des corporations et il peine à les faire bouger, un assemblage de plastique usé pour remplacer un membre mutilé. À nouveau, pas de place pour le superflu, pas de muscles renforcés, certainement pas d'armes intégrées, le strict minimum est à la mode dans les rues et ses articulations mécanisées sont à nue. Vous tournez la tête et ce sont des enfants que vous entendez discuter, assis à même le sol bétonné. Ce qu'ils portent sont à l'image de ce qu'ils sont : démunis. Des formes simples, droites, un style industriel qui rappelle les uniformes bas de gamme des employés des corporations. Les couleurs sont toujours les mêmes et les seules que vous apercevez viennent des panneaux de publicité. C'est triste ici, ça vous donne envie de vous échapper. Vous changez de nouveau de paysage et c'est l'espace monochrome d'une usine où sont produits à la chaîne tous les équipements des marginaux de la modernité. Vous entendez crépitez les étincelles que produisent les bras mécanisés des robots sur les matériaux qui deviendront bientôt les objets du quotidien des miséreux. Ici tout est réduit à la stricte nécessité, c'est la devise de l'entropisme qui est un style que personne n'a jamais vraiment choisi. Un style qui s'impose surtout aux autres, qui a des airs de survie, des airs du passé que l'on essaie de dissimuler sous le progrès. Pourtant l'entropisme perdure à travers les années et ne disparaitra sans doute jamais. Serez vous de ceux qui doivent faire passer la nécessité avant le style ?
|
// console.log("groupes_743-SE") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
Date d'inscription : 13/02/2021
| Mer 12 Jan - 13:08 < groupes > // styles { aesthetic } // console.log("groupes_743-SE") // open.DATA ("clear") // find.data ("kitsch") // | Vous êtes au beau milieu d'une grande artère commerciale et vous vous sentez curieusement comme chez vous. Vous observez les implants clinquants, les lumières qui brillent autour de vous et les styles tous plus excentriques les uns que les autres. Vous vous sentez familier avec la technologie que vous expérimentez et ce parce que la danse sensorielle est à l'origine de ce style, du kitsch. Des vêtements colorés, des cheveux teintés, des matériaux plastiques qui donnent à tout ce qui se trouve autour de vous un goût d'irréel, une impression de contestation de cette réalité qui a toujours été trop dure, trop triste. Les couleurs sont vives autour de vous, du rose, du bleu, du jaune, du orange, un arc en ciel ultra flashy, ultra tendance et des matériaux qui brillent, qui attirent l'œil. Vous croisez votre regard dans le reflet d'une vitrine et il vous plait, vous lui trouvez un petit air rebelle qui convient à votre humeur du moment. À votre droite, un panneau publicitaire vous aveugle et diffuse son poison coloré dans la rue, encore la promotion d'une nouvelle série TV, d'une énième entreprise à la con, d'une marque de steaks hachés transformés, toujours les mêmes pubs qui passent sans cesse et conditionnent votre mode de pensée, votre façon de bouger, de vous habiller. Vous baignez dans la publicité depuis toujours, vous le sentez. Autour de vous, tout n'est que consommation abusive et abrutissement virtuel. Les gens vivent à travers ce qu'ils portent et se réfugient dans les danses sensorielles à la moindre occasion. Vous changez de décor, cette fois c'est au cœur du Lizzie's bar que vous vous retrouvez projeté. Les lumières violettes et la musique qui bat dans vos tempes vous donnent l'impression de voler, l'impression d'être drogué. Les hologrammes dénudés dansent autour de vous alors que vos yeux se perdent sur les fourrures, les décolletés plongeants, les accessoires extravagants mais bon marché qui semblent franchement extraits d'un écran. Rien n'est vraiment précieux, rien n'est fait pour durer. Ce sont de jolies décorations éphémères, de belles illusions, des symboles pour refuser le style trop bien rangé des corporations, une réponse à la sobriété qu'ils ont voulu imposer. Les implants cybernétiques sont légions et ont depuis longtemps dépassé la simple nécessité, ils sont là pour améliorer toujours plus les capacités des êtres humains, poussent les corps dans leurs retranchements et offrent un panel complet de possibilités, souvent osées. Toute cette agitation vous donne le tournis, vous vous rattrapez au comptoir éclairé du bar qui diffuse constamment une lumière bleu glacé, presque violacée. La surface plastique sonne abordable sous vos ongles, vous l'avez compris : ici les lumières néons et les paillettes bon marché font leur loi. Tout est dans le paraitre, la substance importe peu. Vous changez de nouveau de décor et c'est dans une chambre que vous atterrissez. Les draps bleus clairs sont froissés et le système de retransmission diffuse sans arrêt du divertissement, le nouveau jeu du moment, quelques informations et toujours ces foutues publicités. Tout est extravagant ici, des couleurs qui jurent les unes avec les autres aux diodes lumineuses qui brillent sur chacun de vos objets, à leur aspect de jouet malgré le canapé abimé. Vous vous laissez tomber sur ce dernier et votre vision se brouille quand vos yeux atteignent le plafond, c'est la fin de la danse sensorielle et vous venez de découvrir le kitsch, le style le plus répandu de Night City, le style populaire pour ceux qui n'ont pas les moyens de vivre comme les légendes dorées mais qui ont su imposer leur présence, leur vision des choses. À vous de décider s'il vous convient de faire passer le style avant la substance.
|
// console.log("groupes_743-SE") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
Date d'inscription : 13/02/2021
| Mer 12 Jan - 13:08 < groupes > // styles { aesthetic } // console.log("groupes_743-SE") // open.DATA ("clear") // find.data ("neokitsch") // | Vous voilà au milieu d’une foule, au milieu de personnalités aux regards brillants des derniers implants Kiroshi, de femmes aux robes dorées comme l’or et d’hommes portant les dernières fourrures de la mode actuelle. Vous sentez les stimuli de flashs d’appareil photos sur vous, la foule qui bouge en rythme avec les notes endiablées d’un rap dans l’ère du temps. Vos yeux se posent sur la structure au bout de cette foule, sur ce penthouse qui abrite les influenceurs, les stars, les milliardaires et autres stars du nouveau net, du cinéma et toute cette populace qui ne vit que et par l’argent et la popularité qui en découle. Les lignes sont souples, l’excès est faste et excentrique à l’extrême. Tout brille, tout est étincelant et dévoile l’opulence de l’argent. Sous vos pieds, vous trouvez ce qui aurait été considéré comme naturel et classique dans un ancien temps, du bois mat et divinement luxueux, encore une fois à l’excès. Au milieu des rainures de bois, vous pouvez voir des éclats d’or, de platine, de bronze, tandis que vos yeux se relèvent vers ce penthouse qui s’illumine par sa dorure, par le mélange industriel des métaux riches et du bois excessivement rare. De loin, vous pouvez voir les grandes baies vitrées qui couvrent les murs du penthouse dont les cadres sont faits de bois naturel et dont le verre se mélange avec les cristaux fins et précieux conservés et construits dans les laboratoires orbitaux. Vous bougez un peu, juste assez pour laisser vos doigts glisser contre la texture froide et stérile d’un poteau qui délimite l’allée, entre bois et métal, dans une composition excentrique et luxueuse. Vos yeux se ferment, et se rouvrent à nouveau, une nouvelle ambiance, un nouveau lieu, clos. Vous reconnaissez les lumières et les spots réservés au bar et pourtant, tout indique que vous êtes loin d’un bar de la basse ville, bien au contraire. Vous observez tout autour de vous, tout respire et expire la richesse et le luxe dans un extrême vertigineux et curieusement symbolique de tout ce à quoi aspirent les célébrités et les puissants. Vos doigts reposent sur le comptoir fait d’un ébène froid et qui vaut bien plus que tous vos implants réunis, bien plus que votre vie en elle-même, finalement. Vous n’y restez que peu de temps. Non, vos doigts glissent, vos doigts trouvent rapidement un divan qui se pare d’une fourrure, naturelle ou synthétique ? Vous n’en savez rien, mais vous savourez la douceur qui glisse entre vos phalanges, caresse votre épiderme avec toute la symbolique qu’un tel matériau exulte. Vos oreilles et vos yeux sont curieusement attirés par quelque chose d’autre, vers cette scène qui se trouve au coin le plus interne de la pièce, illuminée de couleurs chaudes et froides, un mélange curieux qui ne laisse rien au hasard. Sur cette scène, vous retrouvez sans mal une chanteuse et un chanteur, deux personnalités qui se bousculent aux portes du paradis de la notoriété. Elle, dont l’épiderme est entièrement recouvert d’un platine chromé technologique et dont la chevelure rose rougeoie sous les rayons, attrape le micro platiné et micro cristaux précieux, tandis que lui dévoile un torse recouvert de colliers fins en or et en platine, le torse libéré du carcan des vêtements, à l’exception de la fourrure blanche et rose qu’il porte sur ses épaules. Des plaques dorées ornent son visage tandis que sa main mécanique enclenche un mouvement en direction du deuxième micro et vous êtes comme absorbés par ce qui se passe sous vos yeux, par la beauté du style qui prends toute sa réalité avec deux personnalités qui se trouvent plus proche de la déité que de la mortalité. C’est le neokitsch qui exulte sous vos yeux, c’est la puissance de personnalités si riches et si luxueuses qu’elles tentent d'atteindre cette volonté commune d’être des demi-dieux parés dans les plus beaux atours. Le neokitsch, c’est la puissance par la richesse, l’exubérance faste qui ne nécessite l’opinion de quiconque si ce n’est d’eux-mêmes. C’est la chaleur contrastant avec les idéaux de la puissance, c’est l’élégance au cœur même de l’excentrisme. C’est la substance et le style mêlé, combiné et fusionné qui offre la puissance, l’élégance et l’excentrisme. C’est le style le plus prisé, le plus recherché, le plus convoité jusqu’aux confins des rues les plus noircies par la pollution qui ne touchent nullement les puissants. C’est la richesse, le luxe, la volonté d’être parmi les grands, de marquer le monde, d’être une légende vivante parée de chrome, d’or, de platine ou d’argent. Vos yeux se ferment doucement après une énième note, votre monde se chamboule, le mode édition annonce la fin de la danse sensorielle. Ce style vous conviendra-t-il ? Saurez-vous mêler la substance et le style avec autant d’harmonie et d’excentrisme ?
|
// console.log("groupes_743-SE") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | | | | |
|
| |