Welcome in Night Cityforum test de Night City | | | Aller à la page : 1, 2 | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
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| Mer 12 Jan - 13:17 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("citizen") // | Night City, une ville cosmopolite, multiculturelle, qui inclut tellement de personnalités et de classes différentes, tellement possibilités et de styles différents. Il n’y a qu’à voir lorsque vous vous balader dans les rues de la ville, tout le monde est différent, bien que marqué par ce conformisme propre à la force des corporations. Mais c’est Night City, elle fourmille et vibre par la force de ses différences, à tel point que des experts sociologiques et démographiques ont finis par déduire, durant le début de ce 21ème siècle, qu’il existait différents types bien distincts pour les centres urbains de la ville. Des types qui ont permis de catégoriser, d’une manière ou d’une autre les personnalités les plus larges de Night City. Du powerdealer mené par les CEO de Corporations jusqu’aux Street Scums, ces rebelles qui errent dans les rues de la ville des rêves. Et puis, il y a ces classes plus distinctes, qui arrivent à se faufiler de ci de là et qui se classifient aussi dans ces types différents. Il y a tous ses gens qui pourraient aussi bien être vous ? Enfilez votre équipement et plongez.
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// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
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| Mer 12 Jan - 13:17 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("fixer") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence
Lorsque vous ouvrez les yeux, il y a comme un bruit constant, étouffé par les murs capitonnés. Un bruit constant de voix, de moteurs de voitures, d’entrechoquement de bouteilles et de verres. Vos yeux se posent sur le datapad reposant sur la table basse, dans ce box dans lequel vous êtes le boss incarné, quelques éclats reposant tout autour ainsi que votre habituelle cracheur, chromé et doré sur les bords. Il y a un sentiment profond qui vous emplit alors que vous contemplez avec aisance les informations qui circulent sur votre datapad et dans l’interface de votre implant Kiroshi. Vos doigts pianotent contre votre cuisse alors que vous saisissez sans mal les basses d’une musique électronique qui passe dans le club où vous avez élu domicile. Une bouffée d’air et vous vous rappelez de la réalité comme si elle était la vôtre. Vous avez su très tôt, qu’importe votre background social et les professions incarnées par vos parents, que vous n’alliez pas être faits pour pouvoir marcher sur les pas des corporations, rejoindre les costards cravates et les rangs de soldats bien rangés dans ces grandes tours qui voilent le paysage de Corpo Plaza. De la même manière, de votre œil d’adolescent, vous saviez qu’être Solo, c’était prendre en compte une folie et une dureté que vous n’aviez peut-être pas, et dont vous n’aviez pas envie d’endosser. Mais vous étiez déjà un peu punk, vous aviez déjà envie de servir quelque chose, et vous aviez un atout que peut peuvent se vanter d’avoir : vous aviez ce don de savoir ce que les autres voulaient, et surtout comment l’obtenir. Jouer de contacts, de liaisons, et de ce don pour dénicher ce qu’il fallait pour un client, c’était quelque chose qui vous animait suffisamment pour prendre cette voie et vous retrouver là, dans ce box, avec des eddies à la clef. Vous avez commencé comme tout le monde : avec des offres à dix centimes et des clients bas-gammes, ceux qui ne pouvaient pas se payer les plus grands fixers que la ville a à offrir. Aujourd’hui, vous déplacez des armes illégales à la frontière, vous voler pour revendre des fournitures médicales, vous jouez dans la cour des grands, à marchander des compétences, des informations avec toutes les cartes dans vos mains. Vous agissez autant en tant qu’agent pour des solos ou des coureurs à prix élevé ou même en embauchant des Nomades pour obtenir encore plus de clients, de contacts, encore plus de liens dans cette toile épaisse qu’est Night City. Vous achetez et vendez des faveurs comme un parain de la mafia, à l’ancienne, avec un cracheur et des eddies, avec des rumeurs et des sources fiables, avec de la discrétion et des contacts solides. Vous avez des liens partout, vous vous hissez sur la toile comme une araignée, que ce soit avec les mercenaires ou avec les groupes politiques ou même les corporations. Vous ne faites jamais le travail directement, non, vous êtes le mastermind, vous êtes la tête pensante. Vous envoyez vos contacts, vos alliés et vous vous immiscez ainsi dans des réseaux de coercition. Vous achetez les clubs en vogue si vous le pouvez, vous gérer des commerces légaux pour masquer le réseau de solos que vous menez d’une main de fer sous le grillage. S’il y a des armes militaires qui traînent, c’est vous, et s’il y a une guerre d’entreprise ? Vous miserez pour le bon cheval pour ne pas vous retrouver léser ni perdre l’occasion de courtiser des informations de haute valeur. Vous ne faites pas tout ça pour de l’argent uniquement, non. Il y a une partie de votre profession qui vous pousse à aider ceux dans le besoin, à loger les plus démunis, à apporter de la nourriture à ceux qui en ont le plus besoin. Peut-être que vous le faites parce qu’il s’agit là d’un pari sur l’avenir, de quelqu’un qui vous sera suffisamment redevable pour vous aider. Vous êtes ce mélange circonspect entre Robin des Bois et Al Capone, entre la gentillesse et la bienveillance désintéressée et le business à tous les niveaux. Vous êtes un fixer, et vous avez un client à servir, à aider, et un solo à contacter pour un énième gig intéressant. Vous levez vos yeux de ce datapad lorsque la porte s’ouvre dans un léger vrombissement. « Ce sera quoi, aujourd’hui ? » Votre voix résonne dans l’habitacle, un sourire éclaire vos joues et vous faites glisser l’éclat entre vos doigts. Vous êtes un Fixer, vous êtes les rois et les reines de l’underground. Les réels dirigeants d’en bas, là où les corporations n’ont que de maigres ficelles. Généralités_ Les fixeurs sont les passeurs et les courtiers en information, particulièrement bien connectés aux divers réseaux concentrés en Night City. Ils appliquent leur travail autant sur le marché légal que sur le marché noir. Particulièrement au courant de ce qu’il se passe dans les zones qu’ils « administrent », ils peuvent aisément localiser ou connaître quelqu’un, un lieu ou une chose désirée, tant que cela reste dans leur champ d’opération. Et même si ce n’est pas dans la leur, ils ont suffisamment de contact et d’influence pour pouvoir s’étendre lorsque c’est nécessaire. Adepte des leurres et des faux pour maximiser la confusion, ils appliquent tous les protocoles nécessaires pour ne pas être repérés par ceux qu’ils ne veulent pas. |
// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
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| Mer 12 Jan - 13:17 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("solo") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Vous ouvrez brusquement vos yeux, éveillé par cette douleur issue du MaxDoc qui vous réveille soudainement. Vous avez mal partout, malgré votre résilience et votre tolérance à la douleur. Vous essayez de vous relever, cracheur à la main, dans cet environnement où les tirs fusent et où les crépitements de piratage résonnent derrière les murs décrépis qui sont tout autour de vous et vous enferment dans cette pièce sans lumière si ce n’est l’allogène qui brûle dans un coin. Vous essayez de vous souvenir pourquoi vous êtes là, pourquoi vous vous accouder si fortement à ce siège derrière vous, pourquoi tous vos sens semblent être soudainement quelque peu abscons. Vous êtes venus ici, pour un contrat, une élimination, et tout semble s’être brouillé. Pourtant, vous êtes habitué. Vous avez déjà fait de la récupération d’informations, du nettoyage, du sauvetage et de l’élimination, mais celui-là, il vous l’a mis à l’envers. Vous vous levez, vous approchez du miroir et du lavabo contre lequel vous vous appuyez. Vous avez mal aux côtes mais vous observez votre reflet. Vous avez plus de chrome que l’on ne pourrait en croire, vous êtes un gardien indépendant ou un tueur contre rémunération, vos service sont pas gratuits. Ils le sont jamais. Vous cherchez la gloire et la justice, ou juste la gloire, vous chercher à vous faire un chemin dans cette ville de malheur en prenant ces opérations noires, en devenant une machine de combat d’élite de Night City. Les eddies pleuvent les contrats ne sont jamais perdus, vous trouvez toujours un moyen de vous démarquer, vous trouvez toujours un moyen de bouleverser les codes et de continuer votre chemin, seul. Vos yeux tombent sur les dog tag qui tombent sur votre poitrine. Vous êtes issus d’un passé militaire, mais vous savez que c’est pas le cas de tout le monde. Certains prennent ce chemin parce qu’ils ont passés trop de temps dans les rues à fracasser des nez, certains sont d’anciens flics qui en ont eu marre de gratter de la paperasse, et d’autres viennent des services de sécurité de corpos. Tout le monde est différent, tout le monde vient avec son passif à la con, comme vous aimez le dire. Ce bagage qu’on oublie vite quand le cracheur vient tapoter la tempe. Vous inspirer un grand coup, vous passez une main sur votre cou, sentez pulser vos cybernétiques sous votre peau. En tant que solo, c’est nécessaire, un passage obligé, comme celui de se faire une garde-robe complète d’armures et d’armes. Mais vous savez aussi que c’est pas le cas de tout le monde, certains résistent aux implants, en pensant que leur corps suffira, mais vous, vous savez. Vous savez, vous êtes passé par là. Vous avez modifié votre corps en conséquence, pour être plus fort.e, pour vous armez de tout ce dont vous aviez besoin. Entre cyberlampes et puces de bio-programmes et cyberdeck encore plus puissants, vous avez pris ce qu’il vous fallait. Il vous fallait vous augmenter, vous hisser dans les plus hauts-rangs. Et plus vous grimpez, plus votre prix deviennent élevés, plus vous devenez une légende crainte dans les rues. Mais vous savez qu’il y a un prix à payer à telle adrénaline constante, il y a un prix à payer pour cette vie sulfureuse, il y a un prix à payer pour être au bord de la folie avec tous ses implants, il y a un prix à payer pour pouvoir s’octroyer le luxe d’avoir son nom sur un cocktail de l’afterlife. Vous faites confiance à personne, ou difficilement. Vous voyez le mal partout, ou presque, vous voyez le danger là où tout pourrait être normal. Et vous savez, surtout, que tout peut basculer du jour au lendemain. Un jour vous dormez dans une chambre dans un de ses penthouses luxueux et le lendemain.. Le lendemain, vous pouvez finir avec une seringue dans le bras, derrière un bordel crasseux sans le moindre eddie. C’est le prix à payer. Alors vous passez un peu d’eau sur votre visage, et vous choppez à nouveau votre cracheur, vous l’armez à nouveau, remplissez le barillet de balles avant de défoncer la porte, prêt.e à payer le prix, parce que vous êtes un Solo, et que la liberté se paye, que l’indépendance a ses raisons, que vous rêves de légende et d’indépendance parfaite. Généralités_ Les solos, ce sont des edgerunners, ceux qui sont toujours à la frontière entre légalité et illégalité, ceux qui jonglent avec les lois et les limites avec une aisance déconcertante. Ceux qui plongent dans l’underground mais retrouvent aussi les vapeurs d’en haut. Ce sont des mercenaires, des tueurs à gages, des gardes du corps engagés par des clients ou des fixers et qui errent dans les rues de Night City en quête de contrats, d’eddies à se faire ou d’un gig impressionnant qui fera grimper leur statut au rang de légende. En raison de leur professionnalisme et de leur constante formation, ils ont la capacité fortuite de percevoir le danger, de remarquer les pièces et d’être particulièrement bien armé pour n’importe quel type de situation. |
// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
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| Mer 12 Jan - 13:17 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("netrunner") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Lorsque vous ouvrez les yeux, une sensation étrange vous submerge, votre corps pris entre chaud et froid, entre glaçons et brûlure violente contre la peau. Vos yeux se posent immédiatement sur votre corps, vos mains trouvant le tissus protecteur et élastique de la combinaison que vous portez quand vous vous décider à rejoindre ce monde sur lequel vous posez vos yeux. Le Net. De longues lignes bleues, rouges, blanches glissent en face de vous, forment une pièce toute particulière, une réplique d’un bureau dans lequel une vue est ouverte sur Night City. Vous ne pouvez pas parfaitement distinguer le mobilier qui est flouté par sa création en code, dans le cyberespace mais vous pouvez aisément distinguer ce qui vous semble être le cœur de votre recherche. Vous vous relevez, traversant le premier couloir pour atteindre ce bureau comme s’il était le vôtre. Vos doigts trouvent l’ordinateur, glissent le long d’une surface intangible comme si elle était réelle. Après tout, ce monde, le Net, cette virtualité, c’est votre réalité, dans une certaine mesure. Il n’y a parfois qu’au milieu des ordinateurs, des objets électroniques que vous vous sentez véritablement complet et réel ; tangible. Vous vous souvenez sans mal de la première fois que vous avez touché à un appareil électronique et que vous avez constaté que vous en connaissiez les bases naturellement, sans même vous poser de réelles questions. Vous avez continuer d’apprendre, à creuser ces bases pour devenir un spécialiste, pour programmer vos propres petits logiciels pour rendre plus simple l’usage d’une interface que vous connaissiez déjà par cœur. Certains d’entre vous ont fait des études, ont poussés leur usage jusque sur les bancs d’une université publique ou corporative. Vous avez fait vos premiers gros essais sur des banques transaméricaines, virant des fonds et des fonds pour payer vos études, pour payer vos implants, votre prise de conscience cybernétique. Aujourd’hui, vous êtes dans une symbiose parfaite avec l’ordinateur, avec la machine, votre corps se transformant de plus en plus en cette machine que certains redoutent. Vous plongez la tête la première dans des données vertigineuses, bravant les sécurités de NetWatch pour rejoindre parfois les zones obscures et laissées à l’abandon, les ruines de l’Ancien Net. Votre cerveau est immédiatement connecté aux modems spéciaux, et grâce aux liaisons informatiques, vous vous glisser parfaitement et avec aisance dans les programmes les plus difficiles d’accès. Votre cerveau contrôle autant la défense que l’attaque, préparant programmes sur programmes dans le cas d’attaques, et tout est régit par une simple pression de vos doigts ou un simple cliquetis de votre cerveau. Un daemon, un vampire, n’importe quoi pour abattre les défenses de forteresses de données généralement impénétrables. Vous ? Vous foncez, vous écrasez, vous récupérez, et vous vendez les secrets les plus profonds à ceux qui les cherchent et seraient prêt à payer fortune pour mettre la main sur une simple petite donnée. Parfois vous ne tombez sur rien, parfois vous tombez sur un secret qui pourrait changer la face d’une guerre ou d’un conflit, parfois vous contemplez les ruines et vous découvrez le passé. Mais vous vivez pour la nouveauté informatique, pour les programmes qui entrent en résonnance directe avec vous, pour la prochaine liaison, pour la prochaine descente orbitale que vous pourrez manuellement faire, pour la prochaine donnée qui viendra à vous. Vous vivez pour l’adrénaline de la plongée dans le Net, vous vivez pour toucher du bout du doigt un jour les I.A rebelles ou pour les repousser jusqu’à ce qu’elles soient à jamais inaccessibles, selon votre camp. Mais vous savez surtout que le temps est votre ami, là où la réalité continue son cours, le net le stoppe. Vous êtes là, l’esprit nu et la tête la première dans le Net, et avec un souffle, vous récupérer les données avant de vous tourner vers la sortie, prêt à retourner dans cette réalité qui vous apporte parfois si peu de réconfort. Vous êtes un Netrunner, là où la réalité se trouve dans les confins d’un monde artificiellement créé, dans les lignes bleues et froides d’un cyberespace assassin où les plus inattentifs se font si brutalement capturés et n’en ressortent jamais. Vos yeux se tournent vers la figure inanimée au fond de la pièce, vous clignez des yeux. Surmenage synaptique. C’est la fin. Et le temps, lui, ne vous rattrape qu’au moment où vous vous échappez du monde virtuel, même s’il est votre berceau. Généralités_ Les netrunners, ce sont les pirates informatiques du futur, avertis et aguerris par des compétences entraînées depuis un certain temps, parfois même depuis petit. Ils possèdent un système d’interface cybernétique augmenté implanté directement dans leur corps, avec des cyberdecks bien plus poussés que ceux que l’on trouve chez tout le monde. A l’air de leurs implants d’interface cerveau-ordinateur, ils parcourent le Net à la recherche de systèmes à pirater et d’informations qu’ils vendent aux Fixers mais parfois même aux plus offrants pour les moins loyaux d’entre eux. Contrairement à la majorité des gens, les netrunners ont accès à un menu qui englobe de nombreux programmes et applications d’interface qui leur permettent de localiser à distance, d’exécuter un logiciel, de contrôler à distance, de faire des liaisons LD, de charger, de créer ou même encore de supprimer. Ils sont les rois du Net. |
// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
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| Mer 12 Jan - 13:17 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("techie") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Lorsque vos yeux s’ouvrent, vous êtes dans un atelier à la lumière tamisée, suffisamment forte pour que les outils accrochés aux murs soient visibles mais suffisamment basse pour que le rayon qui filtre sous la porte n’attire l’attention de personne. Vos yeux se posent sur tout ce qui se trouve à votre portée, sur ce qui semble être un capharnaüm ambulant mais qui n’est rien d’autre que votre bazar personnel, avec un rangement précis et presque aussi méticuleux que celui d’un corporatif. A gauche, sur une petite table à roulette en fer, quelques tournevis et un pistolet méticuleusement démonté et dont le processus de remontage passe en boucle dans votre crâne à l’instant où vos yeux se posent sur l’objet. A droite, sur un bureau surmonté d’une petite lampe dont l’ampoule grésille de façon irrégulière, un ordinateur affichant des motifs d’erreur mais dont le code de réparation s’affiche aussi rapidement que possible dans les réflexes de vos mains. En face de vous ? un moteur de voiture qui demande une réparation aussi électronique que mécanique, mais vous savez comment y faire face, vous savez exactement quelle vis doit être poussée et quel tuyau se doit d’être remplacé. Votre vie, c’est ça. L’excitation du petit matin à l’idée de réparer une énième commande, ou de construire un énième outils qui servira au solo qui passera par là ou de modifier et améliorer une interface qui pourrait bien demander quelques boosters supplémentaires pour sa capacité optimale. C’est comme ça que vous gagnez une partie de votre argent, en vous activant sur des objets qui peuvent user de vos compétences mécaniques, électroniques et surtout techniques, comme des mécanismes bien rouillés qui prennent vie sous la pression des objets. Seulement, vous le voyez en vous approchant de l’ordinateur allumé, celui qui ne possède pas d’erreurs de codes, c’est dans les messages qui vous attendent que les plus grosses sommes de votre vie se trouvent. Un contrat pour modifier et altérer une cybertech illégale ou volée, confectionner de l’équipement d’espionnage d’entreprise ou de contre-espionnage pour aider à ces opérations noires que suivent de près les fixers et les solos. Pour ces derniers, vous recevez aussi les commandes de petits gadgets comme de bombes thermiques ou encore des robots chasseurs-tueurs pour des terminaisons occasionnelles. Un banal quotidien balancé par l’appât du risque et du danger, le bonheur en plein sud d’un garage de banlieue. Vous le savez, votre vie et votre gagne-pain se mesure à la grandeur de vos compétences ; à votre efficacité et votre rapidité, dans votre atelier ou sur le terrain. Votre argent, vous le dépensez dans de nouveaux gadgets, dans du matériel ou des informations, tout pour pouvoir tester vos compétences, trouver les altérités inexploitées d’objets et de gadgets légaux et illégaux. Vous le savez, vous avez autant d’amis qui apprécient votre travail et sa revente que d’ennemis qui cherchent à traquer les offenses que vous avez fait à leurs objets. Corporations, gangs, fixers, solos, ou même simple fabriquant, ils peuvent aussi facilement vous aimer que vous détester. C’est pour ça que vos système de défenses sont presque imparables, comme vous pouvez le constater quand vos yeux se tournent naturellement vers les tourelles planquées dans le plafond qui est au-dessus de votre tête. Et vos confrères, ceux qui versent dans d’autres spécialités, sont pareils. Le MedTechie, par exemple, celui qui sera le plus utile au milieu d’une zone de combat, qui sera capable de réparer les implants et les cybernétiques en même temps que panser une plaie qui saigne soudainement trop. Il sont capables de démonter et remonter un fusil autant que de pratique une opération chirurgicale pour le marché noir. Comme on dit, l’argent n’a pas d’odeur, et dans le milieu underground de Night City dans lequel vous baignez avec autant d’aisance, c’est encore une fois une vérité. Appliquer des cybernétiques illégaux, ce sera vers lui que les solos se tourneront. Et même si ce n’est pas vous directement, vous faites parti de cette classe de techie nécessaires autant sur le combat que dans le garage à bricoler pour les gros bonnets de ce monde. Avoir un techie de son côté, vous le savez, c’est économiser des eddies, et probablement… Se sauver une vie. Après tout, vous avez le pouvoir de décider de l’explosion d’un quartier d’un coup de clé à molette de la même manière que vous pouvez décider d’un mod explosif original pour un fusil à pompe. Vous êtes les ingénieurs et les techniciens, la technique et la mécanique. Généralités_ Les Techie, une grande variété de techniciens sans qui le monde underground ne fonctionnerait probablement pas. Allant du technicien basique et général jusqu’au cybertechnicien et au medtech, le Techie peut se spécialiser dans tous les domaines qui demandent un peu de ses compétences sur le terrain. Spécialistes de l’électronique et de l’équipement cybernétique, ce sont eux que l’on recommande lorsqu’une expédition pour un gig est fait en équipe, travaillant généralement en dehors des registres et récupérant les eddies sous le manteau. |
// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
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| Mer 12 Jan - 13:17 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("nomad") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Lorsque vos yeux s’ouvrent, c’est sur un panorama à couper le souffle, et sur l’odeur du feu qui crépite devant vous et la nourriture qui rôti doucement sur une pique, à l’ancienne. Vous pouvez presque imaginé le goût qu’a la viande synthétique sous vos dents, et il n’est pas difficile de ressentir la chaleur qui s’empare doucement de votre épiderme tandis que la fraicheur nocturne réveille vos sens les plus refoulés. Vous fermez les yeux un instant, inspirez un grand coup avant d’observer l’immense désert qui vous entoure, uniquement fermé par la présence des buildings de la ville au loin. Vos yeux se posent sur vos compagnons, un peu plus loin, qui observent cet horizon, en attendant des instructions supplémentaires, et qui murmurent entre eux quelques vannes uniques et propres à votre clan, à ce clan qui est le vôtre. Lorsque vous vous levez, vos bottes grattent la terre et font s’échapper la fumée du désert tandis que vos pas vous amènent devant un large bureau sur lequel traîne des cartes papiers, des clés à molette et votre fidèle cracheur. Mais surtout, à côté de tout ça, vous trouvez un vieux cadre à vous, dans lequel y’a cette photo de famille, cette photo importante qui vous rappelle qu’il y a quelques années, vous avez été chassé de votre ferme et que les corpos ont repris le terrain pour en faire ce qu’ils voulaient, vous laissant sans rien du tout si ce n’est la tristesse d’années d’efforts passées sous le tapis. Et puis, vous avez fini par rejoindre ce groupe de nomades, un peu par hasard, et si les premières années ont été indécemment dures, aujourd’hui… C’est comme si vous aviez toujours vécu comme ça. Au milieu du désert, avec rien et tout en même temps, avec les liens plus forts que tout autre chose, un truc que les citadins ont pas. Vos yeux se tournent à nouveau, cette fois-ci en direction du camp rempli de voitures, de fourgonnettes, de bus reconvertis et de camping-car, c’est tout ce dont vous avez besoin en réalité. C’est votre maison, c’est votre famille, c’est votre tout et c’est tout ce qui compte : la famille avant tout, le reste avec. Mais la famille nourrit pas, la famille paie pas les améliorations physiques, les nouveaux cracheurs et tout ce qui va avec. Vous parcourez les autoroutes, les déserts, vous vous approchez même parfois de la ville pour trouver des petits boulots, du mercenariat, de quoi payer ce qui a besoin d’être payé et qui ne peut être échangé contre des services. Pourtant, il y a de tout, dans cette famille. Si vous, vous êtes juste un mercenaire de plus, vous avez des enseignants, des techniciens médicaux, même un charcudoc, des dirigeants, des mécaniciens… C’est une ville, une famille, un microcosme. Vous faites partie de ce microcosme, ferme et prêt à l’aventure, prêt à ouvrir vos ailes, à démarrer votre moto pour faire de l’éclairage sur les routes, à prendre la tête du convoi pour rejoindre un nouveau point pour faire le camp. Et pourtant, ce soir, vous quitter ce petit meuble pour rejoindre vos comparses. Ce soir, vous avez un convoi à voler, un piller pour pouvoir blinder un peu plus vos voitures et vos motos, pour pouvoir prendre du matos à revendre en ville, à un fixer des badlands. Vous êtes un nomade, parcourant les badlands et les déserts, trouvant les bordures de la ville pour un morceau de pain et quelques flingues. Vous cherchez la vie et la liberté, la famille avant tout, dans un territoire qui n’a rien de convivial. Généralités_ Les nomades, ce sont originellement d’anciens salariés, licenciés et exclus de leur emploi, et qui aujourd’hui parcourent les autoroutes en tant que gitans, gangs de motards ou d’autres troupes abordant avec fierté la vie loin de la sédentarité. Comme cette vie sur les routes est parfois bien plus compliqué qu’on ne l’imagine, leurs liens familiaux sont essentiels et au cœur de la cohésion du groupe. Si un nomade est en difficulté, il peut forcément compter sur un membre du clan pour pouvoir veiller sur lui et l’aider. Les nomades sont réputés pour leur polyvalence, mais aussi pour être de fabuleux éclaireurs et des débrouillards hors-paires, particulièrement prisés par les fixers lorsqu’il s’agit de faire entrer de la contrebande sur le territoire de Night City. |
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Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
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| Mer 12 Jan - 13:17 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("corpo") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Lorsque la machine se lance et que vos yeux s’ouvrent, c’est sur le marbre noir et blanc qui couvre les murs dans des lignes symétriques, géométriquement parfaites et courant de motifs méticuleusement choisis et manufacturés pour rendre cet aspect parfait sur les murs. Vos doigts glissent sur le costume immaculé que vous portez, sur la cravate qui serre doucement votre cou et vous vous déplacez avec agilité dans ce lieu où vous êtes roi. Après tout, vous avez vendu votre âme aux corporations, n’est-ce pas ? Ou quelqu’un avant vous l’a fait pour vous et vous n’avez pu que continuer ce chemin qui était tout si aisément tracé pour vous et vos capacités. Mais, au final, vous faites parti des héros, des gagnants, dans une certaine mesure. Vous faites parti de ceux qui contrôlent les gouvernements, les marchés, les nations, les armées. Vous êtes un cadre, au milieu d’une fourmilière de cent autres comme vous, cherchant à grimper les paliers avec la vigueur qui vous anime. Vous avez du boulot, des dossiers à traiter, des missions à faire valider à vos supérieurs. Ceux-là qui gèrent aussi le monde, à une échelle plus haute que la vôtre. C’est un corpo aussi, mais il est plus haut, c’est ce que vous visez, du haut de votre poste junior, de votre petite position stable et pourtant si facilement détrônable. Vous savez qu’il y a des gens qui tueraient pour vous voir échouer, pour prendre votre place. Des gens qui, comme vous, possèdent son équipe de solo et de netrunner pour gérer les missions les plus dangereuses. Du sabotage ? Oui. De la corruption ? Une routine constante. Du chantage ? Habituel. Une promotion par l’assassinat ? C’est le jeu. A chaque nouveau pion, les enjeux s’élèvent un peu plus. Le culot et le danger font grimper les plus ingénieux au sommet, ce n’est pas le train-train quotidien et l’obéissance polie qui amène aux plus grands échelons. C’est en prenant des risques, en élevant les enjeux que les promotions se gagnent et les pions deviennent de véritables guerriers. Vous savez aussi qu’un risque mal pensé et mal agencé peut vous faire finir aussi vite derrière le caniveau du pire bar de l’histoire. Votre boulot est exigeant, parfois routinier, parfois très simple, mais vous savez que chaque mission qu’on vous confère ou que vous devez conférer est d’une importance aussi triviale que majeure. Que ce soit d’envoyer une équipe pour une opération noire ou de conceptualiser un nouveau calendrier prévisionnel. Mais vous savez que chaque jour peut être différent, que chaque semaine peut soudainement basculer du tout au tout, c’est pour ça que conserver votre place est essentiel, et que grimper l’est encore plus si vous ne voulez pas finir la tête sur une pique au milieu d’une ruelle. Au départ, peut-être que vous vous êtes dit que vous avez rejoint les corpos parce que c’était le moindre mal, parce que vous pouviez faire de Night City un meilleur endroit, peut-être que vous le pensez toujours, peut-être que vous l’avez jamais envisagé. Mais aujourd’hui, vos idéaux sont ternis par le pouvoir, assombris par le gain de puissance qui s’engrange en étant un corporatif puissant. L’éthique ne vaut plus grand-chose, et alors que vous observer votre reflet dans la surface réfléchissante de l’ascenseur, vous vous souvenez. Vous êtes un corporatif et vous êtes prêts à tout pour rejoindre les échelons les plus hauts. Et tout ça commence par le rapport à conclure et ce dossier qui mettra en misère ce collègue qui n’a de cesse de vous narguer. Vous le savez, ce n’est pas un cracheur qu’il aura sur la tempe, mais votre succès. Généralités_ Les corpos, ce sont les associés, ce sont les employés, les PDG et les exécutifs qui dirigent les grandes corporations, qui ont les fils du monde entre les mains. Ce sont ces mégas-yuppies machiavéliques portant des costumes aux prix exorbitants, aux soins précieux et aux véhicules haut-de-gamme. Ils sont riches, ils sont persuasifs, ils sont capable de tant de choses qu’il est difficile de définir les limites de leur pouvoir et de leurs possibilités. Rassembler des faveurs et des ressources au-delà de ce que les gens peuvent espérer, c’est leur spécialité. Et diriger le monde ? Leur objectif. |
// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
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| Mer 12 Jan - 13:18 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("ncpd") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Vous entendez les sirènes et les bruits d’un district avant même d’ouvrir les yeux. L’odeur du café chaud et bas-de-gamme grimpe contre vos narines et vous êtes rapidement submergés par tout ce qu’il se passe autour de vous : le bruit du papier qui gratte, les roues de siège qui glissent contre le carrelage, les bavardages de ci de là, et vos yeux se posent sur cet open space qui s’ouvre devant vous. Vous êtes là, au milieu de tout ça, à votre bureau, votre badge en main, ce qui repose tous vos idéaux, tous vos espoirs les plus fous pour une ville qui avale les gens comme un requin, comme une machine folle que l’on ne peut contrôler. Comme beaucoup de gamins de la ville, vous aviez des rêves pleins les yeux quand on vous parlait d’attraper les méchants et de les mettre en prison, un sens de justice, un besoin de faire les choses correctement, d’amener un brin d’ordre quand votre vie n’était pas du tout ordonnée, dans les rues, loin du calme de Corpo Plaza. C’est pas le cas de tous vos collègues, vous le savez, mais vous… Vous vous êtes là, vous vouliez apporter un peu de sens à cette ville, à votre vie aussi, un peu de justice à ceux que vous n’avez pas pu aider auparavant. Rectifier le tir, mais vous savez que vous pouvez pas faire grand-chose. Après tout, la police n’a pas beaucoup de moyens. Même vous, du haut de votre titre d’inspecteur, vous vous sentez de plus en plus démunis contre le manque de budgets alloué à votre département, à tous les départements. Que ce soit les patrouilles, que ce soit le département d’enlèvement ou d’homicide, vous savez que tout ça… tout ça c’est de la poudre aux yeux et que c’est les corpos qui continuent de faire la loi. Vous ? Vous êtes les jolis petits pions qu’on pose ci et là dans les rues pour faire semblant que la police a encore une réalité ici. Mais vous perdez pas espoir, vous savez que vous pouvez faire quelque chose. Alors, vous attrapez votre veste, votre badge, et votre flingue, après avoir fermé le dossier que vous aviez ouvert un peu plus dos. Ce n’est certainement pas en restant assis à votre bureau que vous serez capable de quoi que ce soit, alors vous savez qu’il vous reste encore une chose à faire : bougez, trouvez quelque chose à faire et avancer, pour de vrai. Parce que la réalité est dans ce département, au milieu de vos collègues qui se démènent pour résoudre des affaires dans les grandes salles de réunion, mais.. La réalité, c’est aussi dans les rues, à chopper les criminels qui font n’importe quoi, à esquiver une balle de peu et une mort certaine. C’est être membre de la NCPD pour vous, avec chaque jour quelque chose de différent et pourtant… une monotonie qui essaye de vous tuer petit à petit. Mais vous tenez bon, pour la justice, pour ce qui vous fait encore vibrer au fond. Généralités_ La NCPD, c’est la police de Night City, c’est la surveillance dans les rues, la remise en ordre des quartiers qui commencent à imploser, c’est la violence dans les rues et la perte de moyens quand tout devient trop dur. La NCPD, c’est la recherche d’un monde meilleur au milieu de la corruption et du pouvoir trop puissant des corporatifs. C’est les inspecteurs de police, c’est les archivistes, c’est les patrouilles, c’est les simples officiers, c’est ceux qui, tout un chacun, essaye de faire de Night City une meilleure ville. |
// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
Oh the things that you say, that make all my worries go away. You're all the things I've got to remember and even if you lose yourself on the way, you know I'll be coming for you anyway. ♔ never let me go again Come, now or never, I follow you anywhere you go, wherever, doesn't matter.I follow you anywhere you go, let's stay together, you make me better. And I know, wherever we go, that we'll be there through it all.
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| Mer 12 Jan - 13:18 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("maxtac") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Lorsque vos yeux s’ouvrent enfin une fois l’initialisation faite, vous êtes presque surpris de vous retrouver assis dans un aérodyne, les mouvements calmes et pourtant perturbateurs de la machine vous donnant toujours la nausée. Après tout, vous avez beau être habitué à ce qui vous colle à la peau, ça ne vous empêche toujours pas d’être quelque peu mal à l’aise quand la machine commence soudainement à décoller du sol pour rejoindre les hauteurs de Night City. Vous jetez un coup d’œil aux gens autour de vous, tous portant le même uniforme, noirs, avec ce badge collé sur le cœur et sur le bras gauche. Un uniforme, des valeurs, une réalité à former et à conserver pendant que le monde tourne comme il le devrait. Vous posez vos yeux sur l’extérieur, sur la vision de la ville qui se dévoile petit à petit, sur les hautes tours qui surplombent le panorama d’une fourmilière qui n’a de cesse de vivre et de mourir, un cycle éternel. Vous pouvez voir la tour Arasaka, un peu plus loin, et les lumières de celle de Militech. Vous savez que c’est là-bas que vous vous dirigez, la mission attendant que l’aérodyne se pose pour que vous entriez en action, comme toujours. Avec toute la brutalité de votre équipement et des objectifs qui vous sont toujours attribués et qui doivent être exécutés comme si vous étiez de bons petits soldats. Et au final, c’est un peu ce que vous êtes. Un petit soldat au service d’un mal qui a surgit des ombres d’une amélioration, d’une nouveauté pour transcender l’âme humaine. Au fond de vous, vous vous dites peut-être que c’était une erreur que de chercher à améliorer le corps humain et la condition qui vous incombe en tant que mortel. Vous avez entendu parler de Soulkiller et de ces engrammes, vous vous doutez que l’immortalité n’est pas loin, et vous abhorrez peut-être cette idée pour ce qu’elle est. Cependant, vous ne pouvez absolument pas vous leurrez : vous savez que c’est parce que cette technologie existe et que ses dérives, ses conséquences, aussi que vous avez ce travail, que vous pouvez parfois laisser exploser vos besoin de violences traduit par cette justice insolente qui courre dans vos veines. Le monde n’est pas juste. Vous vouliez que la criminalité baisse, perde un peu de son allure et de sa force dans les rues, vous vouliez faire quelque chose de juste, c’est pour ça que vous avez rejoint les rangs, que vous vous êtes portés volontaires pour une tâche aussi ingrate, une tâche si compliquée. Vous le regrettez pas, vous savez que certains ont pas eu cette chance. Rien qu’à voir vos collègues, vous pouvez voir le netrunner qui angoisse parce qu’il est encore un junior et a peur de foirer sa première mission et d’être éjecté aussi vite qu’il est arrivé. Vous pouvez voir le techie qui cherche un peu de foi dans le pistolet qu’il remonte pour la quatrième fois. Vous savez que lui, il a pas choisi d’être là, pas comme vous. Lui, il était un de ceux que vous traquez, il était de ceux qui foutaient la merde dans les rues. Vous soupirez, c’est dur. Vous passez une main sur votre visage avant de placer votre casque sur vos yeux, votre vision se multipliant avec vos implants pour vous donner de multiples couches, comme s’il s’agissait d’une édition de DS. Vous inspirez, vous entendez les instructions pour la mission alors que l’aérodyne commence à descendre vers les rues. Cette fois, c’est des membres d’un gang qui commencent à foutre la merde, vous sentez l’excitation dans vos membres et la peur qui embrume un peu vos synapses. Vous n’aimez pas les gangs, ils sont imprévisibles. Mais vous faites partie de la Max-Tac, c’est votre boulot, c’est ce pour quoi vous êtes payé, et alors que l’aérodyne se pose, vous attrapez votre fusil d’assaut, faites un mouvement au reste de l’équipe et vous plongez en dehors du véhicule. C’est l’heure de faire chauffer les balles. Généralités_ la Max-Tac, aussi appelée Psycho Squad, est un sous-groupe de la plupart des département policiers du continent américain, et parfois même en dehors de ce pays. Une unité similaire à celle qui était appelée SWAT et créée dans le but de pouvoir faire face aux cyberpsychos souffrant de cyberpsychoses bien avancées. Ils sont parfois considérés comme des criminels avec un badge, faisant la loi dans les rues avec une force de frappe bien plus puissante que celle d’un officier de police seul. Certains membres de la MAX-TAC sont également recrutés parmi les cyberpsychos les moins avancés. |
// console.log("NCC_734-CZ") // close.DATA ("clear") // log.off ("complete") // | | | | Benjamin Otterton \\_substance over style_// Messages : 220
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| Mer 12 Jan - 13:18 < night city > // citizen { class } // console.log("NCC_734-CZ") // open.DATA ("clear") // find.data ("rockerboy/rockergirl") // | Lancement du profil _ //_ Initialisation de la séquence Lorsque les lumières s’allument et que vos yeux s’ouvrent, vous pouvez entendre la foule, vous pouvez entendre les rugissements de batteries et l’entrechoquement de verres d’alcool. Vous êtes là, au milieu d’un bar qui a tout pour être boudé par les corporations, par les plus riches. Vous êtes au milieu du peuple, dans l’ombre, criant et scandant tout ce qui ne va pas parmi ceux qui sont délaissés par le monde tel qu’il est construit aujourd’hui. Vos yeux se posent sur tous les comparses que vous pouvez observer au milieu de cette foule dans les backstage, ces renégats boudés par les corporations ou qui ont décidés de bouder l’autorité établie. Après tout, vous en faites partie, vous voulez protester contre l'ordre établi et ce qui vous ronge le coeur. Que vous soyez un poète de rue, un artiste de performance, un leader social, un activiste ou encore un politicien, vous êtes tous sous le même étendard, avec ce même message agité comme un drapeau au milieu de la violence, au milieu de la corruption abondante et de cet exercice du pouvoir qui n’a de cesse d’être croissant, qui n’a de cesse d’être volumineux et de faire mal aux plus oppressés encore et encore. Et c’est quelque chose que vous détestez, quand les corporations continuent de taper sur les plus faibles et de rentre les riches encore plus forts, comme s’il n’y avait que ce cycle qui pouvait existait et qui était voué à perturber dans cette matrice incessante qui tourne encore et encore. C’est pour ça que vous scandez le message inverse, que vous empoignez vos papiers et vos stylos pour écrire, pour chanter, pour instrumentaliser tout ce qui semble nécessaire dans ce monde violent. Vous faites tout pour que vos musiques tombent chez les disquaires, pour que vos paroles rebondissent sur le bitume et dans le cœur des gens, pour que vous ne soyez pas le seul à hurler. Vous savez que ce n’est pas ce que le gouvernement ou les corporations veulent entendre et que ça peut vous attirer des ennuis, mais vous n’en pouvez plus de vivre à la botte de quelque chose de trop fort pour être seul. Vous refusez depuis toujours d’être ainsi enchaîné comme s’il n’y avait rien d’autre que ça. Vous ne pouvez tout simplement pas l’accepter. Alors vous écrivez des chansons, vous protestez avec virulence pour répondre à cette corruption délétère qui n’a de cesse de prendre du terrain, vous défier l’ordre établi par le biais de riffs de guitare bien placés et de hurlements à la foule. Vous jouez du rock comme on jouerait du pouvoir, en suivant les figures qui vous ont précédés, Springsteen, Elvis, The Stones. Vous suivez ceux qui marchaient déjà sur ce chemin pavé de brûlures et de mines, avec des guitares hurlantes et des paroles que vous souhaites honnêtes, d’un passage réel par lequel vous êtes passés. Des émotions crachées et scandées pour ouvrir un chemin pour les autres, pour vous, pour tous ceux qui ne trouvent pas leur place dans cette société pourrie et aveuglée par l’argent des corporations. Vous savez que vous avez le pouvoir de mobiliser les gens, de diriger, d’inspirer, d’informer, et vous en faites usage. Une chanson de votre part peut donner un courage à un timide, une force faible et une vision aveugle, vous êtes capables de beaucoup rien qu’avec des paroles et des guitares scandalisées. C’est un pouvoir incroyable entre vos mains que celui de mener une armée devant les champs brûlés par les corporations, de les mettre au tapis. C’est beaucoup de courage pour un gamin qui cherchait, au départ, juste à jouer de la guitare sur son temps libre. C’est beaucoup de pouvoir pour juste un pauvre type qui fait des concerts tous les soirs dans un bar miteux. Mais vous pouvez le gérer, vous le savez, vous l’avez dans le sang. Vous êtes un Rockerboy ou une Rockergirl, et c’est pour ça que vous attrapez votre guitare, serrant les cordes entre vos doigts avant de sauter sur scène, prêt à faire griller les amplis et donner à la foule ce qu’elle cherche. Généralités_ Les rockerboys, ou les rockergirls, sont des musiciens rebelles utilisant la musique comme un moyen de se révolter contre l’autorité établie, contre les corporations notamment. Ils ressemblent énormément aux punk rock des années 1980 qui considéraient les vendus aux corporations comme des traîtres à l’art et à l’artisanat. Ils sont charismatiques et savent avec aisance comment influencer, inciter et charmer la foule au travers de performances musicales toutes particulières. Un travail aujourd’hui repris par les plus grandes stars de pop ou de danses sensorielles. |
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