Welcome in Night Cityforum test de Night City | | | | Zola Elcatraz \\_substance over style_// Messages : 146
And war is all you ever seen
Your war behind the screen
And all it means to me. When you are numb
When you've been gone
Lost in the lapse again Date d'inscription : 07/07/2021
| Mer 12 Jan - 13:24 nina amy coalbrooke _ i'm nasty, i'm evil, must be something in the water or maybe i'm just my mother's daugher néobitch cara delevingne la papesse féminin / elle initializing _ opening files génétique : au commencement, il y avait Sasha Murphy, un patronyme vite oublié, laissé pour mort dans les trahisons corporatives et la poussière du désert. Il y en a eu beaucoup à travers le temps, Nina n'a jamais été qu'une. Elle s'est cependant accroché à Nina Mulliver pendant un temps. Puis l'amour et ses déceptions l'ont fait renaître, encore une fois, une de plus, et bien d'autres. Aujourd'hui, Nina existe, et n'existe pas à la fois. Nina Coalbrooke est bien réelle, mais bien peu la surnomme ainsi. nom de code : autrefois, il y avait une Colombe et son diminutif affectueux, Coco, qu'elle aime à encore utiliser de temps en temps, dans le secret. Mais tout le monde la connaît sous son prénom de scène terrestre, Amy, et son nom de code interstellaire, Elska. Elle collectionne les identités, les faux noms, tout ce qui pourra la faire davantage briller. longévité : elle a 35 ans et elle pourrait s'amuser à se vanter de n'en faire que vingt-deux. Nina n'en a pas besoin, elle n'a que trente-cinq ans : mais pour elle, icône de beauté, c'est presque l'âge de la retraite qui laisse planer son ombre stérile et lugubre. On lui donne encore bien des années de gloire et d'appréciation, mais Nina a peur de la vieillesse, peur de la mocheté, peur de l'oubli et peur de la mort : une peur qu'elle a provoqué chez quelqu'un, et qu'elle s'est, finalement, un peu infligée à elle-même par ce biais. date de création : Nina aime à dire qu'elle n'a pas vraiment de date de naissance, qu'elle serait née dans l'espace, hors du temps. C'est faux, évidemment. Née sur Terre, très ordinaire, elle ne dévoile qu'à bien peu le fait d'être un Gémeaux né un 26 mai 2040, dans un endroit bien moins classe et élégant qu'une salle d'accouchement du Crystal Palace avec baie vitrée et vue sur la planète bleue. provenance : Un secret, bien gardé. Probablement quelque part en Amérique. Elle n'apprécie pas d'avoir plus ou moins la même provenance crasseuse que son ex petit ami ; elle lui laisse la misère et le mépris. Elle ne veut que la gloire. localisation : Nina oscille, vacille. Elle adore la Terre, même si son image de petite fille méprisante des gens d'en bas fait bien plus vendre. Elle a une petite mais confortable villa à l'abri des regards dans North Oak, de laquelle elle domine la ville. Elle dispose également d' un appartement dans le Crystal Palace. carrière : La pauvre petite fille ne savait pas trop quoi faire de sa vie : elle n'avait pas d'ambitions précises, juste envie de sortir de la pauvreté pour aller se baigner dans l'opulence et la célébrité. Elle ne savait pas comment y arriver, ne voulait pas se demander. Elle a fini par comprendre que son apparence était son plus grand atout, et son intelligence, sa carte dans sa manche. De fait, c'est une égérie pour de nombreuses marques. Derrière l'icône de beauté se cache en réalité une femme très intelligente, plus que calée sur l'espace et ce qui s'y passe. Ainsi, on peut la considérer cosmonaute avec ses connaissances, même si elle n'effectue pas de mission à proprement parler. Elle a un siège honorifique au conseil chez Orbital Air, car même s'ils se servent bien plus d'elle pour promouvoir ce qu'ils ont à vendre, elle mérite tout de même une place au milieu de scientifiques et de spécialistes : cela en dit long sur sa dangerosité, savamment camouflée derrière de nombreuses couches de maquillage et d'effets spéciaux. alignement politique : Un contrat unique et fidèle avec Orbital Air, une corpo qui lui a promis monts et merveilles, une promesse vers les étoiles, aussi littérale que figurative. préférences : Elle se définirait comme bisexuelle, attirée par les deux sexes. En réalité, elle est plutôt attirée par des intérêts personnels, mais c'est une autre histoire. Une autre conséquence résiduelle d'un choix basé autrefois uniquement sur le bon sentiment : fini les erreurs du style pour Nina. Là où il n'y a pas gain potentiel, il n'y a rien à découvrir, rien d'intéressant. statut civil : Pour le scandale et le bruit, elle est parfois "victime" d'un coup d'un soir fictif, d'une amourette de star ou d'un couple secret exposé au jour et finalement brisé. La vérité, c'est que Nina est seule, incroyablement seule. Elle a failli se marier, mais elle n'a jamais su qu'elle allait passer à côté, et encore une fois, cela ne lui importait pas : quand lui avait l'idée en tête, elle avait déjà un autre homme dans son lit. Nina est donc célibataire, solitaire, avec un statut changeant quand le monde des paillettes l'exige. données bancaires : elle est bien plus qu'aisée, grâce à son salaire de corporative et ses revenus via les différentes marques de luxe qu'elle représente. échantillon vocal : Nina a cette voix qui semble constamment nuancée d'une arrogance née, malgré son aspect chantant. Elle peut être feutrée, elle peut se faire entendre en haussant le ton sans même crier. Sa voix en impose, un peu trop : c'est le genre de timbre qu'on adore ou qu'on déteste au point de vouloir casser la télé lorsqu'il se met à grésiller dans les enceintes. corpulence : le physique imposé du mannequin, évidemment. Fine, élancée, dépassant à peine le mètre soixante-quinze, mais trichant si souvent avec des talons nécessaires au masculin mètre quatre-vingt. Nina a vu sa vie rythmée par les hommes : c'est fini maintenant. Elle veut jouer sur le même pied d'égalité que ceux qui l'ont fait souffrir, et les écraser. Enfin, tous sauf un. Lui, elle sait qu'il suffit d'aborder cette histoire de taille pour l'anéantir. Elle adore s'amuser à cette pensée quand il revient traîner dans son esprit. trigger warning : XXX logiciel de traduction : la langue maternelle de Nina est l'anglais. Elle parle très bien le français, le russe et l'italien. Elle s'est mis au japonais depuis que ça parle d'alliance avec Arasaka. Elle a des rudiments en norvégien & en suédois. thème musical : [baby i'm a] snakepersonnalité : venimeuse + égoïste + superficielle + arrogante + vive d'esprit + calculatrice + provocatrice + matérialiste + pessimiste + vaniteuse + stratège + génie + i don't blame ya boy, can't get to my level after all you're just a toy the player behind the screen pseudo : reyes les coupains pronoms : féminin/elle âge : 23 déjà, geez pays : la France askip tes trigger warnings : hématophobie (description trop détaillée de choses médicales/violentes IRP) d'où tu as connu le forum ? encoooore une fois, je suis dans le processus créatif crédits : (avatars & icônes) reyes dernier mot : balustrade, je le trouve marrant
| | | | Zola Elcatraz \\_substance over style_// Messages : 146
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| Mer 12 Jan - 13:24 we live and die by pretty lies we both know it broken record, spinning in endless circles opening files _ questions data Chargement du système _ // Données manquantes _ log: Réponses nécessaires. quelles sont vos coordonnées GPS favorites à Night City? La starlette voudrait continuer à faire croire que si toutes les destinations extravagamment chères tout autour du globe sont ses préférées, parce que plus c'est cher mieux c'est, elle ne pourra pas mentir sur un certain point. Elle adore Night City, même si elle fait bien savoir sur les tabloïds qu'elle déteste cette ville crasseuse de miséreux sans ambitions. En son sein même ? Nina ne saurait se décider. Tant que c'est riche, uppé, pas accessible à tout le monde et hautement prétentieux, ça lui va. erreur système _ matière inconnue // quelles sont les protéines que votre organisme préfère? Le disque rayé des magazines people reprend. Elle enchaîne les diètes, les régimes, pour arborer ce corps divin qui fait sa fierté. Mensonges, sur toute la ligne, comme toujours. Nina a un faible pour la malbouffe, tout ce qui se commande et qu'elle n'a pas à préparer à elle-même. Nina est une flemmarde, et mieux encore : une incapable aux fourneaux. Elle n'a jamais voulu apprendre, par fierté d'abord, puis après, par flemme, en découvrant que l'argent pouvait payer des cuisiniers et de la bouffe toute faite d'avance. Mais devant les médias ? Elle ne se sustente que de choses chères au nom imprononçable et qui sont bourrés de vingt-cinq vitamines avec des matricules tout aussi obscurs. pouvez-vous renseigner quelles sont vos particularités physiques? Nina est superficielle, et encore, on pourrait l'appeler la superficialité même. Alors son corps ? C'est un sanctuaire qu'elle pourrit de produits corrosifs et excessifs pour garder la façade dans un état irréprochable. Elle a tout de même quelques tatouages de-ci de-là, mais elle a adopté un genre de realskinn qui lui permet de changer ses tatouages au gré de ses envies. Elle a également un système de botox nouvelle génération dans le corps, une réserve qui permet de rajeunir sa peau et son corps de manière tout ce qu'il y a de plus toxique, en continu. Un genre de soin Nivea sous-cutané pour les gens qui n'ont vraiment que les apparences à l'esprit. analyse du style vestimentaire. échec de l'analyse. quels vêtements avez-vous l'habitude de porter? Riche. Nina pourrait bien ignorer l'agencement des couleurs et des formes tant que les marques et les zéros s'alignent. En vérité, elle a un grand sens du style et adore la mode, tout ce qui y touche : plutôt normal et logique pour une égérie de plusieurs marques de vêtements de grand luxe. C'est bien là un des aspects de son travail qu'elle apprécie plus que tout? L' excentricité des tenues, pour les clips, les publicités. Elle met un point nommé à toujours se faire remarquer, besoin d'être désirée, regardée. Peur de l'oubli imprimée sur des motifs barrés et des matériaux aussi chers que difficiles à trouver. merci de détailler quelles sont vos habitudes en dehors du travail, quelles activités comptent parmi vos préférées? Il sera bien triste de reconnaître que Nina n'a pas vraiment de hobbies. Sinon que sa propre personne, et développer ses intérêts futurs. Elle joue à un immense jeu, celui de sa vie, et elle se prépare constamment à la comédie, au rôle qu'elle doit interpréter à chaque instant de sa fatigante existence. Elle, elle adore ça. Et c'est ce qui fait que bien peu de gens l'apprécient au quotidien : il n'y a jamais eu de réalité ou de concret derrière cette femme. Pas de passions, pas de personnalité, juste un produit de beauté sur une énième affiche à néons d'un gratte-ciel. facteur d'allégeance imprécis, veuillez renseigner quelles sont vos opinions vis à vis des groupes d'intérêts suivants : NCPD, corporations, gangs de Night City? S'ils n'ont pas d'intérêt direct aux yeux de Nina, ils n'existent pas. Elle n'a aucun avis, rien, se moque de la politique tant que ça ne peut lui apporter un moment de gloire sur les tabloïds. Elle s'en fiche de savoir que le NCPD fait bien son travail ou pas, que la Max-Tac a des techniques douteuses, ou que les gens s'entretuent pour l'un ou pour l'autre. Elle se contente de rester fidèle à sa corporation qu'elle trouve plutôt bien choisie : l'entreprise ne fait pas trop dans la guéguerre de clans et le partage de querelles inutiles. système de combat à préciser, quels sont vos points faibles et vos points forts? Malgré son apparence et son passif, autant de starlette que de poupée, Nina n'est pas sans défense. Si elle ne s'appellerait pas netrunneuse pour autant, elle a de très bonnes connaissances en hacking et en netrunning, très pratique pour se défendre ou pour pirater des choses, de-ci de-là. Et si elle a des connaissances en arts martiaux, notamment le judo, sa constitution ne lui permet pas d'être véritablement une ennemie dangereuse en combat physique. Déjà fine et élancée, le temps qu'elle passe dans l'espace ne fait qu'affaiblir petit à petit sa constitution. Nina sait donc se battre, mais sa force et donc sa constitution lui font outrageusement défaut. erreur système. donnée inconnue. dites nous, préférez-vous une vie paisible ou une mort spectaculaire? Elle répondra bien peu prétentieusement qu'elle ne mourra pas. Pas en premier en tout cas. Elle entraînera les autres à sa suite, et ce sera leurs morts à eux qui rendra la sienne inoubliable. thriving on destruction, on broken hearts and faded inspiration opening files _ your free note La première fois que Nina a adopté cette pose caractéristique de sa personne, c'était dans l'encadrement de la porte en tôle qui permettait d'accéder à la chambre de sa mère. Elle ne fermait jamais à clé ces nuits-là, où les hommes défilaient un par un. Pas un ne portait le nom du père de Nina, pas un ne ressemblait à la description que sa génitrice en avait fait. Aucun ne venait remplacer ce dernier de toutes façons, il venait juste tenter de combler un vide béant dans le cœur de celle qui avait mis au monde la petite blonde. Un vide dont elle allait hériter, assez tristement. Elle avait alors douze ans ans, quand elle avait compris le pouvoir de cette chose dénommée sexe, et son inutilité aussi. Elle commença à se demander ce que l'amour, dont lui avait tant parlé sa mère, avait à faire là-dedans. La seconde fois que Nina se trouva, d'un air assez dédaigneux, dans l'encadrement d'une porte, à observer une scène en silence, ce fut également avec sa mère. Pas d'homme dans son lit cette nuit-là. Il n'y avait que celle qui l'avait mis au monde, qui dormait paisiblement. Nina a gravé son visage dans sa mémoire, a pris son sac préparé en avance, et est partie. C'est à seize ans que la petite blonde s'est lassée de savoir quand est-ce que sa mère réussirait à combler le vide qui l'entravait, et quand est-ce qu'elle tenterait de combler celui qu'elle avait créé dans la vie de sa propre fille. La troisième fois, ce fut lors de sa première nuit au Clouds. Elle se souvient de la cabine aux néons de part et d'autres, couleurs agressives. Et le corps de cet homme qu'elle ne connaissait pas, qui se dévoilait au fur et à mesure que ses vêtements tombaient. Maintenant tournoyaient ensemble l'amour, le sexe, et l'argent. Tout devenait trop confus pour Nina. Trop confus et bien peu galvanisant. Mais la vie avait un prix, la bouffe et le toit aussi, alors elle avait compris que certains aspects de son existence devraient être mis de côté avant de pouvoir s'en occuper, parce que certains autres n'attendaient pas. La quatrième fois, il y avait bien peu de dédain, presque pas du tout en fait. Mais plutôt de la curiosité, de l'intérêt. Une étincelle étrange, qu'elle n'arrivait pas bien à placer sur le plan des aspects de son existence. Une autre chambre du Clouds, avec quelqu'un d'autre. Pas un de ses clients, mais une autre poupée, qui venait de finir son propre travail. Fier, ambitieux, drôle, charmeur. Nina pensait trouver les balbutiements d'un amour adolescent dans les bras d'un client, mais c'était une autre poupée qui l'avait charmé avec son visage de porcelaine. Ezra. Le nom sonnait comme un de ces chocolats piégés. Doux à l'extérieur, sucré, et au creux de ce dernier, une liqueur, addictive, venimeuse, mauvaise pour la santé. Mais Nina s'était laissé charmer par l'emballage. Lui aussi d'ailleurs. La cinquième fois, elle n'était pas externe à la scène qui se passait à l'intérieur, non. Elle était dans le bâtiment à regarder au-dehors. Elle l'attendait, interminablement. Peur qu'il ne vienne pas, peur qu'il la laisse tomber. Pour la première fois, Nina regardait au-dehors, plutôt qu'à l'intérieur ; ses rêves d'évasion, ses ambitions, semblaient se concrétiser. La sixième fois eut lieu peu de temps après, quelques années. Elle ne se souvient pas bien de la véritable sixième fois ; juste avant le drame. Elle essaye de se remémorer son visage endormi avant de commettre l'impardonnable, de se souvenir de la douceur de ses traits quand rien ne les agaçait, mais ça ne revient pas. Elle ne se souvient que de la septième, qu'elle dénomme sixième. Pas de porte, seulement une fenêtre. Trop dangereux de laisser l'ouverture, quand celui qui était endormi avant était en train de tout détruire. Pour elle, à cause d'elle. Impuissante sur l'instant mais fautive auparavant, elle avait regardé l'amour mourant s'effondrer derrière une fenêtre. Elle pensait être protégée par la fenêtre, pas d'ouverture possible. Mais elle se trompait. Nina se retrouve, souvent, dans l'encadrement d'une porte, à rêver de quelque chose. Qu'elle soit au-dehors ou à l'intérieur, à regarder l'opposé, c'est toujours la même chose. Colombe, Coco comme il l'appelait, est assoiffée de liberté. Et se tenir dans l'ouverture, bien à l'abri de la brèche qui permet la fuite à tout instant, c'est réconfortant. Nina n'a jamais été de ceux qui restent, mais bien de ceux qui s'en vont. Elle pense, à tort, qu'une porte lui sera toujours ouverte. Elle pense qu'elle pourra déjouer même la mort, dans sa folie superficielle, reine d'un monde qui n'existe pas vraiment, plein d'illusions et de mensonges. Nina essaye d'oublier qu'elle ne peut pas échapper à elle-même, que c'est en elle-même que réside déjà une porte vers la fin, une qu'elle ne peut pas refermer. //_ base de données des habitants de night city Seuls les agents techniques certifiés CC35 et DHSF-5 peuvent accéder à cet appareil, l’utiliser ou le désactiver.
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